Lu par Gaël
Mathias Enard reprend les ingrédients qui font ses talents, après une très décevante Rue des voleurs.
Une longue méditation nocturne, à la poursuite d’une femme et de soi-même. On pense à Butor, on voyage beaucoup, un beau roman, où l’érudition sert pratiquement tout le temps le propos.
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