Boussole, de Mathias Enard

28 oct

Lu par Gaël

Barbiche shizophrène

Barbiche voyageuse

Mathias Enard reprend les ingrédients qui font ses talents, après une très décevante Rue des voleurs.

Une longue méditation nocturne, à la poursuite d’une femme et de soi-même. On pense à Butor, on voyage beaucoup, un beau roman, où l’érudition sert pratiquement tout le temps le propos.

Boussole

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